GUINÉE : UN SANGLANT CHAMP CLOS SUR FOND DE PILLAGE ET DE MASSACRES À QUOI SE RÉSUME LA DÉMOCRATIE. QUI A DIT QUE SÉKOU TOURÉ N’A PAS PILLÉ LA GUINÉE ?
L’histoire a ses « CRIMINELS », et ses acteurs sont souvent les pires. En Guinée, ces criminels sont légion. Depuis l’arrivée du P.D.G dans l’arène politique guinéenne en 1946, le pouvoir a toujours été violent et continue de l’être à ce jour avec ses héritiers.
L’histoire des violences politiques en Guinée remonte à l’époque coloniale. Ce sont les bureaucrates de la IVème République française dont un certain BERNARD CORNUT-GENTILLE, HAUT COMMISSAIRE, GOUVERNEUR GÉNÉRAL DE L’A.O. F qui, par son soutien au P.D.G, plaça la Guinée, dès 1956, sur l’orbite de la dictature. Et depuis lors, le pays subit la continuité entre colonisation et oppression externes et internes : de Sékou Touré et tous ses différents successeurs dont Lansana Conté, Moussa Dadis Camara, Alpha Condé et le dernier d’entre eux LE VIOLENT ET ZÉLÉ CAPORAL-CHEF DE LA LÉGION ÉTRANGÈRE FRANÇAISE RÉPONDANT AU NOM DE MAMADI DOUMBOUYA qui, depuis le 5 septembre 2021 mène impitoyablement notre pays à VAU-L’EAU par sa gestion mafieuse chaotique qu’il a métamorphosé en un sanglant champ clos à quoi se résume la DÉMOCRATIE.
Depuis, le règne de l’impunité continue d’alimenter le cycle infernal des VIOLENCES ET DES REPRÉSAILLES SANS FIN. Objectif recherché, atteindre vaille que vaille le but de sa convoitise : PILLER LA NATION, TERRORISER LES POPULATIONS PAR DES MASSACRES PÉRIODIQUES et CONTINUER DE TROMPER LA COMMUNAUTÉ NATIONALE au profit de quelques personnalités de marque et leurs clientèles et par finir s’incruster au pouvoir à vie.
- SOUS L’ÈRE DU P.D.G AVEC SON RESPONSABLE SUPRÊME QUI JOUAIT À L’İNCORRUPTIBLE Mr PROPRE, le courant des malversations prenait leur source au sommet même de la hiérarchie de l’État révolutionnaire. Surtout le clan des Touré (côté Sékou Touré) et Keïta (côté madame Andrée Touré née Keïta) les plus corrompus et violents du pays.
Et pourtant, en fin démagogue, sur fond de populisme de bas étage, l’on se souvient qu’au « CONGRÈS DE LA VÉRITÉ » en 1962, « l’incorruptible » tyran déclarait hypocritement que : « La Guinée subit une grave crise de moralité. Le gouvernement doit mettre un frein à la corruption au niveau des agents de l’État et bannir définitivement la passivité, l’inconscience professionnelle, l’incurie, les gaspillages inadmissibles et surtout le vol qui semble se généraliser dans tous les secteurs d’activités de l’État. » Pendant ce temps le pseudo incorruptible continuait à l’abri des regards indiscrets d’accumuler fortune sur fortune à l’étranger. C’est vrai comme l’a dit Talleyrand : « LA PAROLE A ÉTÉ DONNÉE À L’HOMME POUR MASQUER SES PENSÉES ».
QUI A DIT QUE SÉKOU TOURÉ N’A PAS PILLÉ LA GUINÉE ?
C’est l’HOMME D’ÉTAT RÉPUBLICAIN CONVAINCU MOUMEN DIOURI DANS SON BEST-SELLER : « À QUI APPARTIENT LE MAROC ? » AUX ÉDITIONS L’HARMATTAN PUBLIÉ EN 1992 QUI NOUS RÉVÈLE QUE LE DESPOTE GUINÉEN A BEL ET BIEN PILLÉ NOTRE PAYS ET QU’UNE BONNE PARTIE DE L’ARGENT VOLÉ SERAIT PLANQUÉ AU MAROC.
À la page 231 de ce best-seller, il dit que : « HASSANE II EST D’AILLEURS LE BANQUIER DE PLUSIEURS DICTATEURS DÉCHUS. AINSI, SON GRAND AMI LE SHAH D’IRAN A CONFIÉ À SA GESTION 35 MILLIARDS DE DOLLARS, UNE PARTIE DE SON IMMENSE FORTUNE APPARTENANT AUJOURD’HUI À SA FEMME ET SES ENFANTS POUR QU’IL LE GÈRE. LE ROI GÈRE ÉGALEMENT POUR LE COMPTE DE Mme ANDRÉE, DE MOHAMED ET AMINATA TOURÉ ET D’ISMAÏL TOURÉ, VEUVE, FILS, FILLE ET DEMI-FRÈRE DE SÉKOU TOURÉ, 4 MILLIARDS DE DOLLARS REMIS PAR L’ANCIEN PRÉSIDENT DE GUINÉE. APRÈS LE COUP D’ÉTAT QUI A MIS FIN À 26 ANS DE DICTATURE, LE MAROC A D’AILLEURS ACCUEILLI LES SŒURS DE SÉKOU TOURÉ ET PROPOSÉ DE RECEVOIR LES AUTRES MEMBRES DE SA FAMILLE AU FUR ET À MÉSURE DE LEUR LIBÉRATION PAR LANSANA CONTÉ, EN 1984,1987, ET 1988. »
ET DIRE QU’EN 1958, Il DÉCLARAIT DANS UNE FOURBERIE NON FEINTE : « Nous préférons la LIBERTÉ dans la PAUVRETÉ, à l’OPULENCE dans l’ESCLAVAGE ». À sa mort, on découvre qu’il était aussi riche que CRÉSUS, dans un pays exsangue ruiné avec des prisons un peu partout sur l’étendue du territoire nationale tandis qu’il a planqué à l’extérieur une fortune colossale pour assurer ses arrières et celles de sa descendance.
Pour preuve, à l’heure actuelle son fils MOHAMMED TOURÉ et sa femme qui vivent au États Unis dans leur villa cossue à SOUSTHLAKE au TEXAS, purgent depuis le 22 avril 2019 une peine de prison de 7 ans, dont 3 ans en résidence surveillée pour trafic d’êtres humains, travail forcé, hébergement d’un étranger en situation illégale et déclaration mensongère au FBI. En plus leur villa cossue d’une valeur de 500.000 dollars US ainsi que leurs comptes bancaires ont été saisis et ils devront verser en plus, 250.000 Dollars de dédommagement à leur victime. Et pourtant ce couple se faisait passer aux yeux des Guinéens pour des gens d’une probité morale insoupçonnable et très près du peuple qu’ils ont pourtant appauvri et esclavagisé pendant 26 longues années en se faisant passer pour des gens bien sous tous rapports.
Qui s’est posé la question sur l’origine des fonds qui ont servi à l’acquisition de sa villa d’une valeur de 500.000 dollars US et de ses revenus annuels déclarés de 200.000 dollars de 2010 à 2016 pour un montant total de 1,4 million de dollars en seulement 6 ans ? Il est de notoriété publique que Mohamed Touré n’a jamais travaillé aux Etats-Unis son pays de résidence, ni dans un autre pays. C’est seulement sa femme qui aurait travaillé un an pour Delta Airlines et par la suite, comme aide soignante selon la justice américaine (informations rapportées par l’article de Guineenews du 9 mai 2018 intitulé : Le mystère des milliards de Mohamed Touré fils du premier président guinéen). Nul besoin de dire que le mystère des milliards de Mohamed Touré est de nature à conforter les révélations de Moumen DIOURI sur les milliards cachés du président Sékou TOURE au Maroc.
Et, pour ne pas laisser de témoins pour le tribunal de l’histoire, son père Sékou Touré avait assassiné tous ceux qui étaient au courant de ses magouilles et malversations financières. Ça a été le cas de son malheureux ami et ambassadeur itinérant Kassory Bangoura qu’il a liquidé au camp Boiro parce qu’il en savait trop sur les magouilles financières de son ami. Et dans le même lot, on peut citer aussi Baldet Ousmane, Soumah Théodore, Thiam Baba Hady, Gnan Félix Matos, Camara Balla, El Hadj Fofana Mamoudou, la liste est longue, qui, étaient tous au courant des détournements des fonds publics par Sékou Touré et ses proches.
Et il utilisa son talent de tribun pour cacher ses faits monstrueux.
- Depuis le 5 SEPTEMBRE 2021 les autoproclamés héritiers du D.G qui ont fait mains basses à leur tour sur le pays, ont installé eux aussi un climat d’inquiétude, de suspicion généralisée et de terreur ponctuée de massacres. C’est le retour indiscutable du régime abject du P.D.G. où tout est intrigues, complot, arrestations arbitraires, disparitions et massacres.
La Guinée est à nouveau prise entre les serres prédatrices d’un autre conglomérat de narcotrafiquants qui ont fait un retour en force et se sont installés au sommet de l’État fictif, prébendier et prédateur. Depuis, les scandales de fuite de capitaux se succèdent les uns après les autres.
C’est Comme le chantait LE REGGAEMANE ALPHA WESS en langue nationale SOUSSOU : « WO FADÉ KOUTOU-KOUTOU NARA », c’est-à-dire venez c’est la RAZZIA des biens publics ! À TOUS LES NIVEAUX ET DANS TOUS LES SECTEURS D’ACTIVITÉ SUR FOND DE MASSACRES, DE KIDNAPPING ET D’EMPRISONNEMENT EXTRA-JUDICIAIRE À FOTOBA LE NOUVEAU CAMP BOIRO. Et dire que le fourbe et violent caporal-chef de la légion étrangère française déclarait le 3 septembre 2021 que : « La justice sera la boussole qui guidera tous les Guinéens », ALLEZ-Y COMPRENDRE QUELQUE CHOSE !
Les Guinéens croupissent toujours dans une misère noire et dans des conditions de vie digne du moyen âge, les scandales de fuite de capitaux se succèdent les uns après les autres. Une part importante de ces sommes détournées est consacrée à l’achat de matériel de répression et d’armes de guerre, au recrutement de mercenaires de toutes nationalités avec l’appui du RWANDAIS PAUL KAGAMÉ, à l’enrichissement des nouveaux maîtres du pays, au fonctionnement des différents organismes du système policier aussi bien à l’intérieur qu’à l’extérieur de la Guinée, mais aussi et surtout à l’entretien de leurs nombreuses maîtresses éparpillées à travers le monde.
Tous ces nouveaux mafieux militaires et leurs serviles supplétifs civils sont connus et, vivent dans une opulence jamais connu dans ce pays. Pendant ce temps le Guinéen est paupérisé et esclavagisé. Quant à la violation des droits de l’homme, elle est systématique voire endémique. Et la tragédie continue invariablement. Ce qui arrange bien le nouveau POLPOT guinéen qui s’agrippe à son fauteuil vacillant et ensanglanté pour continuer d’exister.
Il ne faut pas aller chercher ailleurs les causes profondes du désastre actuel. LES NOUVELLES FORCES DU MAL SONT BEL ET BIEN À KALOUM ET NON AILLEURS.
Les escadrons de la mort qui sévissent actuellement ont été mis en place par le PRÉSIDENT DU C.N.R.D en personne, fonctionnent parfaitement et à plein régime. En voici les vrais principaux responsables qui ne sont mû que par l’âpreté au gain et l’appétence par un pouvoir à vie, dont la philosophie est APRÈS NOUS LE DÉLUGE ! Ce sont :
- Le Caporal-chef légionnaire MAMADU DOUMBOUYA autoproclamé Général de corps d’Armée : Président de la transition et du C.N.R.D un individu haineux, retors doublé de pitre dangereux. Il est loin de ce qu’on peut qualifier d’homme d’ÉTAT. Il a installé un climat d’inquiétude, de suspicion et de terreur ponctuée de massacres. C’est le pivot incontournable des escadrons de la mort qui sévissaient déjà sous Alpha Condé, et pire actuellement avec son N.R.D.
- Le Général de Brigade AMARA CAMARA: Ministre Secrétaire Général de la Présidence de la République. C’est le serial killer par excellence. Pour lui la politique est l’art de la sournoiserie et de la tromperie. Ilse dit comme un médiocre légionnaire y est arrivé pourquoi pas moi.
- Le Général ABOUBAKAR SIDIKI CAMARA ALIAS IDI AMINE DADA: c’est l’inamovible ministre de la Défense Nationale aux intentions inavouables. Il dit à qui veut l’entendre que le TPI est une institution fantoche qui n’inquiète que les criminels qui ne sont pas protégés par le pouvoir. Et que le caporal-chef restera Président tant que lui le voudra.
- LE Général DE BRIGADE BALLA SAMOURA : C’est le HAUT COMMANDANT DE LA GENDARMERIE ET DIRECTEUR DE LA JUSTICE MILITAIRE dont la violence n’a d’égal que sa médiocrité et son hypocrisie. II rappelle en tous points un certain KEIRA KARIM une autre fripouille sadique du P.D.G
- LE COLONEL SÉKOU TIDIANE CAMARA : C’est le SERIAL KILLER par excellence, le PATRON DES SERVICES DES RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX BASÉS AU PALAIS MOHAMMED V, la cheville ouvrière des escadrons de la mort du N.R.D qui reçoit ses ordres directement de MAMADI DOUMBAYA et, son beau-père IDI AMINE. C’est le nouveau Lucifer des camps de la mort du C.N.R.D basés aux ILES DE LOOS tout comme l’était un certain SIAKA TOURÉ du P.D.G.
Il y a aussi les supplétifs civils de cette galaxie mafieuse du C.N.R.D dont un certain Djiba Diakité, Papa Fofana le conseiller spécial du caporal-chef légionnaire (l’homme des missions secrètes et convoyeur des fonds volés), Dansa Kourouma, Mamadou Bah, Bokar Ly, Boubakar Yacine Diallo, Bah Oury, Ousmane Gaoual Diallo, Mory Sanda Kouyaté, Mory Kaba etc… Tous adeptes de la maxime « plus le mensonge est gros, plus les gens y croient » Alors, ils racontent des bobards dès qu’on leur tend un micro.
Cette liste est non exhaustive. Je reviendrais plus en détail sur ce groupe dans un prochain article.
Le seul homme qui trouble le sommeil de tous ces individus interlopes est le colonel Claude Pivi alias GRAND KO dont l’évasion spectaculaire de la prison de Coronthie au cœur de la capitale continue de troubler le sommeil du caporal-chef légionnaire Mamadi et ses affidés. La seule évocation de son nom crée la débandade au palais Mohammed V rendant notre caporal-chef légionnaire paranoïaque d’où sa fuite en avant actuelle sur fond de terreur et de massacre. Techniques très prisées des despotes en fin de course. Il voit des tentatives de déstabilisation partout.
Cependant, malgré les graves menaces qui pèsent sur la tête des populations guinéennes, elles ne doivent pas perdre espoir.
Il est fort possible, qu’un jour pas très loin, « une vague d’eau propre détournée par un grand fleuve d’espoir qui n’a jamais tari », vienne nettoyer les écuries des pouvoirs publics Guinéens souillées par le régime du CAPORAL-CHEF LÉGIONNAIRE, UN AUTRE ACCIDENT DE L’HISTOIRE DE NOTRE PAYS.
Dr. ABDOUL BALDÉ.